À l’évidence, le chef d’entreprise veut maximiser la valeur de sa société et, pour ce faire, il doit recourir à tout son génie et aux talents qui l’entourent. Fini l’époque où il lui était permis de dicter les attributs d’un produit à ses clients ou d’imposer toutes ses conditions à tous ses employés. Désormais il lui faut composer avec une réalité complexe. L’expérience du client est au coeur de son effort commercial car il est conscient que celui-ci “co-crée” la valeur de l’entreprise. En outre, les ressources et le capital humain nécessaires à une offre compétitive sont dispersées à l’échelle internationale et, par le fait même, doivent être repérées, attirées et rentabilisées (RAR). Cela requiert des systèmes d’information performants qu’encore malheureusment trop peu d’entreprises mettent en place. Ces systèmes permettent, par exemple, d’établir des espaces de collaboration avec des fournisseurs ou partenaires stratégiques éloignés ou de bâtir une relation d’intimité avec des clients (”rentables”) ou des entreprises qui commercialisent une offre complémentaire (pour des fins de ventes croisées ou de levier sur le “branding”). Ces technologies au service de l’information stratégique, de suivi de performance ou de la coordination de processus (ex. plateformes de collaboration de type PRM) sont, en quelque sorte, devenues indsipensables dans un contexte d’affaire où d’une part les cycles de développement et les fenêtres d’opportunités s’écourtent et, d’autre part, les bons partenaires avec lesquels on doit travailler sont de plus en plus éloignés sur le globe. Peut-être êtes-vous conscients de ne pas avoir tous les outils en main, et c’est normal. Ce qui serait plutôt anormal serait que vous soyiez littéralement fermés à améliorer vos façons de faire.